• Mes brebis écoutent ma voix,

     

     

     

    Mes brebis écoutent ma voix,

     

    Mes brebis écoutent ma voix, moi je les connais, et elles me suivent.

    Jean 10. 27

    Inconnu, mais bien connu

    La reine s'est déplacée pour l'inauguration d'une école en Angleterre. Elle a fait un bref discours aux nombreux élèves en uniforme. Après la cérémonie, une petite fille fond en larmes. Inquiète, l'institutrice lui demande: “Pourquoi pleures-tu? Tu n'as pas pu voir la reine?

    – Si, sanglote la fillette, mais la reine ne m'a pas vue, moi!”

    La reine, naturellement, n'a pas pu faire attention à chaque enfant en particulier.

    N'avons-nous pas parfois l'impression de n'être qu'un numéro, à l'époque des ordinateurs et des banques de données? Un numéro du système d'assurance sociale, un numéro à l'hôpital, un numéro à la banque, un numéro anonyme parmi la foule… Et le sentiment angoissant que personne ne s'intéresse à nous nous envahit.

    Pourtant, il y a quelqu'un qui me connaît. Il connaît mon nom. Il entend mes soupirs. Il me voit, où que je sois. Le roi David était parfaitement conscient de cela lorsqu'il écrivait: “Tu connais quand je m'assieds et quand je me lève, tu discernes de loin ma pensée” (Psaume 139. 2).

    Toi qui lis ce texte, tu ne connais peut-être pas le Seigneur Jésus, mais lui te connaît, il sait comment tu t'appelles, comme il connaissait le nom de Zachée alors qu'il ne l'avait jamais rencontré (voir Luc 19. 1-10). Mets ta confiance en lui, et tu auras le bonheur de l'entendre te dire: “Ne crains pas, je t'ai racheté, je t'ai appelé par ton nom, tu es à moi!” (Ésaïe 43v1

     

     

     

     

     

    Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné.

    Éphésiens 4. 32

    Le pardon

    “Pardon!… Excuse-moi!” sont des formules de politesse familières qui reviennent souvent dans nos échanges. Nous nous excusons ainsi, souvent avec légèreté, du tort que nous causons à autrui, en minimisant son importance; et nous nous soucions en général bien peu de la réponse. Mais il ne peut pas en être ainsi dans nos relations avec Dieu.

    Le monde est rempli de personnes qui pensent n'avoir rien à se reprocher, ou si peu! Or Dieu ne voit pas les choses ainsi: “Il n'y a pas de juste, non, pas même un seul” (Romains 3. 10). Toutefois Jésus a dit: “Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs à la repentance” (Luc 5. 32). Le premier pas que j'ai à faire pour recevoir le pardon de Dieu est donc de reconnaître que moi aussi je suis injuste, pécheur, coupable, et que je mérite le jugement qu'il a prononcé: “Le salaire du péché, c'est la mort” (Romains 6. 23). Jésus me dit aussi que c'est pour moi, pour me libérer de mon péché, qu'il est venu sur la terre et a subi la mort sur la croix, prenant sur lui le jugement que je méritais. “Lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois (la croix)” (1 Pierre 2. 24). Je reçois alors ce pardon que Dieu a en réserve pour tous ceux qui croient en Jésus Christ, avec la paix et la joie qui en découlent.

    Le pardon de Dieu n'est donc pas une simple formalité. Jésus Christ a payé le prix pour pouvoir me l'offrir, par amour pour moi. Ce pardon gratuit est aussi pour vous.

     

     

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    « Besoin d'espoir Tu ne commettras pas d adultère »
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