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    Seras-tu surpris au retour de Jésus-Christ

    Seras-tu surpris au retour de Jésus-Christ?

    Message du pasteur Nathanaël Koudougou

    Référence biblique:

    1 Thessaloniciens 5v1 à 10

    Résumé:

    Prédication du Mardi 3 Janvier 2012

    Jésus vient bientôt! La Bible nous déclare que le jour du Seigneur sera un jour particulier qui viendra comme un voleur. Préparez-vous! Veillez et assurez-vous du Salut de votre âme car beaucoup seront surpris! Oui, prenez garde de ne pas être surpris car il sera trop tard...

     

    Pour écouter le message,cliquez sur ce lien: 

    http://www.addaveyron.fr/img/page_info/1860.Message.mp3

     

    Soyez en béni(e)s 

    Source: http://www.addaveyron.fr/informations/-------seras-tu-surpris-au-retour-de-jesus-christ-1860.html

    http://dieusauve.eklablog.com

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    Je t’ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance,

     

    « Je t’ai suscité à dessein pour montrer en toi ma puissance, et afin que mon nom soit publié par toute la terre. » Romains 9.17

    Cette histoire vraie de William Neal Moore est tirée du livre « Plaidoyer pour la foi » de Lee Strobel (voir rubrique livre). Histoire et Propos recueilli par Lee Strobel.

    Moore est un pasteur qui a reçu l’ordination de la faculté de théologie de l’État de Géorgie. Il est un père et un mari dévoué, un homme qui prend financièrement soin de sa famille, un employé modèle pour un patron de la ville, un homme de compassion et de prière qui passe son temps libre à aider ceux qui souffrent et ceux qui semblent avoir été oubliés. En bref, un citoyen modèle.

    Cependant, ramenons le calendrier un peu en arrière, à un jour de mai 1984. À cette époque, Moore  était enfermé sous haute surveillance dans une cellule du couloir de la mort au pénitencier de l’État de Géorgie, non loin de la pièce où se trouvait la chaise électrique où il devait être exécuté moins de 72 heures plus tard.

    Son cas n’était pas celui d’un homme innocent pris dans les méandres d’un système judiciaire. Indiscutablement, Moore était un meurtrier. Il l’avait avoué lui-même. Après une enfance passée dans la pauvreté, il commença, à l’adolescence, a voler occasionnellement, puis il s’engagea dans l’armée. Plus tard, un soir où il était abattu par des soucis financiers et des problèmes conjugaux, alors qu’il était sous l’influence de l’alcool, il entra par effraction dans la maison de Fredger Stapleton, âgé de 77 ans, connu pour cacher de grosses sommes d’argent chez lui.

    Retranché derrière une porte, Stapleton laissa partir une volée de plomb de son fusil de chasse, à laquelle Moore répondit en tirant avec son revolver. Le vieil homme fut tué sur le coup, et quelques minutes plus tard, Moore s’enfuit en emportant 5600 dollards. Un informateur passa le tuyau à la police et il fut arrêté chez lui le matin suivant, avec son butin. Il avoua son crime et fut condamné à mort. Il avait dilapidé sa vie et s’était tourné vers la violence. À présent lui aussi devait faire face à la violence.

    Mais le William Neal Moore qui comptait les heures en attendant son exécution n’était plus le même homme que celui qui avait assassiné Fredger Stapleton. Peu de temps après son incarcération, deux responsables d’une église locale était venu le visiter, à la demande expresse de sa mère. Ils lui parlèrent de la grâce et de l’espérance offertes par Dieu en Jésus-Christ.

    « Personne ne m’avait jamais dit que Jésus m’aimait et qu’il était mort pour moi. C’était un amour que je pouvais sentir. C’est un amour que je désirais. C’est un amour dont j’avais besoin. »

    Ce jour-là, Moore répondit « oui » à l’appel de Jésus, au don gratuit du pardon et de la vie éternelle. Il fut baptisé aussitôt. Il ne serait jamais plus le même.  Ce pas de foi le transforma radicalement. Son cœur s’ouvrit et la puissance de transformation de l’Esprit de Dieu a pu commencer à agir en lui. Une puissance réelle et merveilleuse, guidée par l’Amour.

    Pendant les 16 ans qui suivirent, il fut comme un missionnaire auprès des détenus du couloir de la mort. Il conduisit des études bibliques et des réunions de prière. Il assistait les prisonniers et en conduisit plusieurs à Christ. Les églises lui amenèrent des gens dans la prison, jusque dans le couloir de la mort, pour recevoir son aide et son assistance. Il suivit plusieurs cours bibliques par correspondance. Il obtint même le pardon de la famille de sa victime. Il fut connu sous le surnom « d’artisan de la paix » parce que les cellules de sa section, habitées par des prisonniers devenus chrétiens, pour la plupart grâce à lui, étaient les plus tranquilles, les plus sûres, et les plus ordonnées de la prison.

    Pendant ce temps, Moore approchait de plus en plus de l’heure fatale de son exécution. Légalement parlant, son cas était sans espoir. Étant donné qu’il avait plaidé coupable, il n’y avait virtuellement aucune possibilité de gagner sa relaxe ou faire appel. À chaque fois, la cour réitérait sa sentence de mort.

    « Un saint homme »

    La transformation de Moore était tellement flagrante, que les gens commencèrent à le remarquer. Mère Térésa et d’autres personnes commencèrent une campagne pour sauver sa vie. « William n’est plus ce qu’il était, dit un ancien détenu qui avait connu Moore en prison. Si vous le tuez aujourd’hui, vous tuez un corps, mais un corps avec un coeur différent. Ce serait comme exécuter l’homme qu’il ne faut pas. »

    Un éditorial dans un journal d’Atlanta le louait pour sa réhabilitation, mais également parce qu’il était devenu « un agent de réhabilitation pour d’autres. Pour beaucoup, il est un saint homme »

    Quelques heures seulement avant que Moore ne soient attachés sur la chaise électrique, que sa tête et son mollet droit ne soient rasés pour que les électrodes létales qu’on placerait à ces endroits-là puissent établir le contact, à la grande surprise de tous, la cour décréta un sursis temporaire.

    Encore plus étonnant, le Comité de relaxe et de pardon de l’État de Géorgie vota à l’unanimité d’épargner sa vie et de commuer sa peine à la prison à perpétuité. Mais ce qui est absolument encore plus incroyable – en fait du jamais vu dans toute l’histoire de la Géorgie – fut que ce même Comité décida que Moore, reconnue pour avoir commis un vol à main armée avec homicide, devait être libéré. Le 8 novembre 1991, il sortit de prison. Dieu ne dit-il pas dans sa parole : « Le coeur du roi est un courant d’eau dans la main de l’Eternel; Il l’incline comme il le veut. » (Proverbe 21.1). Une démonstration éclatante de cette parole !

    Comme tant d’autres versets bibliques, le Psaume 49.15 a alors pris tous son sens pour William : « Mais Dieu sauvera mon âme du séjour des morts, Car il me prendra sous sa protection. » La Parole de Dieu est la Vérité.

    Assis près de cet homme, dans sa maison qui donnait sur un petit bois de pins, je lui demandai l’origine de cette merveilleuse transformation.

    « C’est donc le système de réhabilitation de la prison qui en est responsable ?

    - Non, ce n’était pas ça, s’exclama-t-il avec un petit rire.

    - Alors c’est probablement un programme d’amélioration personnelle ou un travail d’attitude mentale positive qui a réussi ça ?

    Il secoua la tête négativement.

    - Non, ce n’était pas ça non plus, s’exclama-t-il.

    - Avez-vous pris des tranquillisants ? Ou bien avez-vous pratiqué la méditation transcendantale ? Ou avez-vous reçu des soins psychiatriques ?

    - Allez, Lee. Vous savez bien que ce n’est rien de tout ça ! » me dit-il.

    Il avait raison, je connaissais bien la véritable raison. Je voulais simplement la lui entendre dire.

    « Alors qu’est-ce qui est responsable de la transformation de William Moore ? lui demandai-je.

    - Tout simplement Jésus-Christ, déclara-t-il sans hésitation. Il m’a changé comme je n’aurais jamais pu le faire moi-même. Il m’a donné une raison de vivre. Il m’a aidé à faire ce qui est bien. Il m’a donné un coeur pour les autres. Il a sauvé mon âme. »

    Voilà le pouvoir de la foi à l’oeuvre pour changer une vie.

    L’apôtre Paul a dit : « Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. »

    William Moore le chrétien n’est pas le même que William Moore l’assassin. Dieu est intervenu par son pardon, par sa grâce, par sa compassion, par sa puissance, par la présence éternelle de son Esprit.

    La même grâce rénovatrice coule pour quiconque choisit d’agir face à l’évidence en faveur de Jésus-Christ, accepte son pardon et se détourne de ses péchés pour le suivre. C’est ce qui attend tous ceux qui choisissent de dire « oui » à Dieu et à ses voies.

    Note de Lee Strobel (voir ici son témoignage) :

    Avec le témoignage authentique de Moore, nous avons une illustration radicale de la manière don Dieu désire transformer la vie de celui qui répond favorablement à l’évidence de Jésus, qui abandonne son orgueil, et qui lui ouvre son coeur.

    Cela peut se résumer en trois étapes : investigation, décision, transformation, que j’ai moi-même expérimenté pendant mon pèlerinage spirituel. C’est en 1981 que j’ai répondu à l’évidence de la foi en décidant d’abandonner l’athéisme et de m’attacher à Jésus. Et comme Moore, je n’ai jamais plus été le même. Laisser Dieu ouvrir de plus en plus ma vie à sa présence et me diriger chaque jour. J’ai vu mes valeurs, mon caractère, mes priorités, mes attitudes, mes relations, mes désirs, changer avec le temps – pour le mieux.

    Aujourd’hui, après avoir retracé mon chemin et être retourné sur les pas de mon investigation originale, ma décision de 1981 s’en trouve affermie. Ma foi n’a aucunement été affaiblie par les questions difficiles que l’on m’a posées ; au contraire, elle ne s’en est trouvée que plus solide.

    Sonder les « points sensibles » de la foi chrétienne m’a assuré une fois de plus de la solidité fondamentale et de l’intégrité rationnelle de la foi. Ayant passé à travers les rigueurs d’une enquête intellectuelle minutieuse, ma foi à émergé plus profonde, plus riche, plus robuste et plus assuré que jamais.

    Lee, Moore mais aussi le bref échantillon de témoignage présent sur ce site témoigne de la même réalité : Dieu est vivant et en Jésus se trouve le seul et Véritable chemin qui mène à la vie, à la vraie vie, ici bas et dans celle d’après. N’attendez plus. Soyez sincère avec Dieu et qui que vous soyez, quelque soit votre passé, la même grâce et le même amour vous est offert par la foi en Jésus. Il suffit de le recevoir et de suivre les voix vertueuse de Dieu avec son aide, sa puissance et son amour. Il ne vous abandonnera pas quelque soit vos défauts et vos difficultés car il vous aime tellement…

    Proverbe 2.3 à 5 :

    « Si tu appelles la sagesse (le discernement) à grands cris, si tu élèves la voie vers l’intelligence, si tu la cherches comme l’argent, si tu la poursuis comme un trésor, alors tu comprendras qui es le seigneur, et tu trouveras la connaissance de Dieu. »

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    La souffrance et la mort

     

    « La souffrance et la mort pourrait bien être le mégaphone par lequel Dieu essaie de se faire entendre d’une humanité sourde et plongée dans les ténèbres. »

    Woody Allen, le réalisateur bien connu a dit un jour : « Tant que l’homme se saura mortel, il ne sera jamais vraiment décontracté ». Voilà une appréciation qui frappe par sa simplicité et par son réalisme. La plupart d’entre nous ne pensons pas à la mort chaque jour. Heureusement, en un sens. Cependant, nous savons tous que notre bien le plus précieux, notre vie, nous sera tôt ou tard ôté. Dès lors, les moments de bonheur, court ou long, ne sont-ils pas que des instants volés dans une situation de survie ? Comment être vraiment heureux face à la fatalité de la mort qui prendra chacun ?

    Cette situation de malaise se vérifie dans les hôpitaux quand, la médecine parvenant aux limites de ses possibilités, les soignants se trouvent devant un choix difficile à faire : celui de l’acharnement, ou celui de l’abandon… Dans ces moments de grand désarroi où la vie semble ne pas peser plus « qu’un souffle au creux d’une balance », quand la science et l’affection des proches se révèlent impuissants, face au désespoir ou au fatalisme, une seule alternative se présente : c’est le recours à Dieu qui seul, est plus grand que la vie elle-même. Dieu est le seul à venir apporter une lumière d’espérance merveilleuse dans les plus épaisses ténèbres de la mort, qui sans Dieu, rendrait fou et désespéré quiconque commencerait à y réfléchir sérieusement et c’est d’ailleurs pour cela que beaucoup refuse de regarder cette réalité en face. Du problème individuel, aux luttes internationales, la seule espérance qui tiennent la route et qui soit légitime, est celle de Dieu, une espérance pour la vie et pour l’au-delà. Là où il n’existe pas de réponse au drame de la mort, il est inévitable que le désespoir ronge la vie.

    L’un des refrains les plus fréquemment entendu dans la bouche de ceux qui ont atteint les plus hauts sommets de la réussite, c’est celui du vide qui continue de hanter leur vie malgré tout leur succès. Il y a aussi le refrain du désespoir face à la mort qui viendra leur enlever les richesses éphémères accumulées ici-bas.

    On se souvient peut-être d’Aristote Onassis, le célèbre armateur grec, qui fut un des hommes les plus riches du monde. Un journaliste a écrit à son sujet : « Aristote est mort à Paris à 69 ans. Sans doute, bien des gens l’ont envié pour ses richesses et sa puissance. Mais à quoi cela lui sert-il maintenant ? Il a dû lui-même confesser que son existence et tous ses efforts se terminaient sur un échec. Au début de la maladie qui devait l’emporter, il a confié à un ami : « j’ai été, en fait, une machine à faire de l’argent. On pourrait croire que j’ai passé la vie dans un tunnel d’or, le regard fixé sur la sortie qui me conduirait à une totale satisfaction et au bonheur. Mais il n’y a pas de fin à ce tunnel. Il ne reste rien après la mort ». Un tunnel qui n’a pas de fin. On n’y avance, joyeux, insouciant, on pense ne pas avoir besoin de Dieu, et plus on avance, plus on s’enfonce dans la nuit pour s’apercevoir enfin qu’il n’y a pas d’issue pour en sortir. La mort viendra chercher chacun d’entre nous ainsi que tous nos proches. La mort engloutira tous les espoirs et tous les souvenirs joyeux ou non de la vie de chacun. La mort est un ennemi trop fort pour l’homme.

    La Bible parle de la mort comme d’un ennemi. Cela signifie que quand on dit : « la mort fait partie de la vie », ce n’est pas vrai, c’est une fausse consolation et un mensonge. La Bible nous dit que le dernier ennemi, la mort, sera détruit un jour. Pas par la science qui ne peut que prolonger l’existence de quelques années, mais par Dieu. Si la mort est pour l’homme un ennemi, et avec elle, tout ce qui menace sa vie (la liste est longue…), c’est parce que Dieu a cessé d’être pour lui un ami.

    Avoir Dieu pour ami… Et certainement l’expérience la plus extraordinaire qu’un homme puisse faire sur cette terre. Si extraordinaire, que certains sont tentés de sourire comme s’il s’agissait d’un rêve irréalisable. Continuez donc de sourire, car ce rêve est réel et il est à porté de votre main.

    La Bible nous laisse entendre qu’il est possible que Dieu soit avec nous et pour nous. Et elle fait simplement remarquer que si Dieu lui-même nous devient favorable, aucun ennemi ne pourra l’emporter sur nous, pas même la mort. Que faut-il donc faire ? C’est précisément à ce moment qu’intervient la bonne nouvelle que Dieu annonce à tous les hommes. Cette bonne nouvelle s’appelle l’Évangile.

    Oui, l’Évangile est une bonne nouvelle, la plus merveilleuse de toutes. Ce n’est pas une religion ; mais si nous voulions pourtant l’appeler ainsi, il faudrait ajouter que, de toutes, c’est la seule qui puisse se résumer en un mot : incarnation. Ce qui fait la spécificité de l’Évangile, c’est qu’il révèle que Dieu aime à ce point sa créature que, pour la sauver de la misère dans laquelle elle s’est mise toute seule, il n’a pas hésité à se dépouiller de ses attributs divins pour venir naître d’une femme, comme chacun des humains, de façon à en être tout proche, à partager leur misère, leur faiblesse physique : il a eu faim ; il a eu soif, il était fatigué. Il a même été tenté ; mais contrairement à tous les humains de l’histoire, lui n’a point succombé à la tentation ni au péché. Il n’y avait aucune faute en lui.

    Ses contemporains l’on vu vivre une vie parfaite, une vie de don de soi pour les plus petits. Ils l’ont vu guérir des malades, délivrer des gens possédés de démons, commander à la mer et au vent, marcher sur l’eau. Deux fois ils l’ont vu nourrir des milliers d’hommes et de femmes avec tout juste quelques misérables petits pains et quelques poissons. Et ils n’ont cessé de se demander : « qui donc est celui-ci pour rendre la vue aux aveugles, faire parler les muets, être obéit des éléments déchaînés… ? »

    Ils se sont dits qu’il devait être un grand prophète, et même peut-être le messie promis depuis si longtemps par les prophètes. Mais, même après l’avoir vu ramener des morts à la vie, dont un certain Lazare décédé depuis trois jours, même ses apôtres, les plus proches de lui… Oui, même eux n’ont pas vraiment compris qui il était, hormis durant quelques instants de lucidité trop passager !

    Aussi se trouvèrent-ils tout tristes, déconfits, déconcertés, quand il fut crucifié et mis dans un tombeau. Il a fallu que Jésus leur apparaissent vivant, trois jours après, pour qu’ils se souviennent qu’en même temps qu’il leur parlait de sa mort, Jésus leur annonçait qu’il sortirait vivant du tombeau. Alors, tout cela étant devenue réalité, plus aucun doute n’était possible, il était bien Dieu parmi les hommes, venu subir la mort pour communiquer la vie à tous ceux qui croirait en lui.

    Pourquoi Jésus est-il mort ? Pourquoi a-t-il tant souffert ? Pour nous amener à Dieu ! C’était le but suprême de sa venue sur terre. Mais quelle était l’obstacle ? Nos péchés, bien sûr ! Notre égoïsme, notre impureté, notre haine, notre cupidité, notre mesquinerie, notre orgueil, et toutes les autres fautes qui entachent nos vies et qui empêchent le monde de tourner. Ces péchés s’élevaient comme un grand mur entre nous et Dieu. Nous ne pouvions voir de l’autre côté. Nous n’étions même pas sûrs qu’il y ait un autre côté, et qu’il ait quelqu’un de cet autre côté. Mais Jésus a souffert sur la croix pour abattre ce mur de péchés. Il y est parvenu en acceptant que le mur tombe sur lui. Lui, le juste, a pris notre place, à nous les injustes ; il a payé notre dette, porté notre fardeau, purgé notre peine. Il l’a fait pour que nous puissions être pleinement pardonnés par Dieu, sans que rien ne porte atteinte à sa justice, justice qui ne pouvait pas passer sur nos péchés. Il suffit de recevoir Jésus dans sa vie par la foi pour être pardonné et être déclaré justifié devant Dieu et commencer à expérimenter une nouvelle vie surnaturelle avec Dieu qui commence par un changement dans le coeur. Jésus m’a-t-il aimé personnellement ? Oui, sa croix le prouve. Il s’est donné à la mort pour toi, pour moi, pour nous tous.

    Mais voilà, peut-être faites-vous parti de ces personnes qui peuvent répliquer : « tu me parles tout le temps d’un sauveur, mais je n’ai que faire de quelqu’un qui paie à ma place. Si j’ai fait quelque chose de mal et s’il y a un Dieu, je répondrai moi-même de mes actes devant lui ».

    Devant une telle pensée qui paraît légitime, il faut bien faire attention. Lorsque tu commets des fautes, la justice humaine te punie. En France, tu serais jugé selon le droit français, en Angleterre selon le droit anglais, mais devant Dieu tu seras jugé selon le droit de Dieu. La justice de Dieu est bien plus forte que celle des hommes. Et que dit-il, ce droit de Dieu ? Il dit que personne n’est juste, pas même un seul. Il dit que dès notre jeunesse, nos pensées sont mauvaises et tournées vers le mal. Il dit que même notre justice est comme un vêtement souillé. Il dit que l’on est tous pécheur et privé du ciel. Il suffit de regarder notre monde pour s’en convaincre. Pourquoi notre cœur est-il si malade ? C’est la conséquence de notre rejet de celui qui est la source de la vie.

    Par exemple, qui peut prétendre avoir aimé son prochain comme lui-même ? Notre Dieu, dans sa justice, devait nous condamner à cause de nos péchés, et de notre nature corrompue. Mais voilà, à cause de son amour et pour satisfaire sa justice, il s’est fait chair en la personne de Jésus et s’est livré lui-même en rançon pour tous. C’est le grand mystère de l’incarnation : Dieu le Père qui devient Dieu le Fils parmi les hommes tout en restant Dieu le Père dans le ciel. Il n’y a que Dieu pour réaliser une telle prouesse !

    Par le sacrifice de Jésus et par sa résurrection, la mort a été engloutie, elle a perdu son aiguillon nous dit la Bible. Un des trésors impérissable d’un chrétien, c’est d’avoir dans le coeur cette conviction sûre et certaine que l’affirmation biblique, affirmant que rien ne pourra le séparer de l’amour de Dieu, pas même la mort, est pour lui. Les miracles de la puissance de Dieu dans la vie de celui qui place sa foi en Jésus sont nombreux car Jésus et bel et bien vivant, ressuscité, au ciel à la droite de Dieu, et il envoie son Esprit à quiconque le reçoit comme Sauveur et Seigneur.

    Chers lecteurs, vous avez lu la bonne nouvelle. Dieu sauve celui qui croit au Seigneur Jésus. Quand je reçois une bonne nouvelle, je la crois et je m’en réjouis. Ou alors je ne la crois pas, et elle me laisse froid. « Croyez l’Évangile » : c’est la parole du Seigneur rapportée par les évangélistes (Matthieu, Marc, Luc, Jean) qui ont écrit ces quatre livres de la Bible concernant la personne et la vie de Jésus. Il est le fils de Dieu, il est aussi l’homme parfait, plein de grâce, qui a répandu bien fait sur bien fait. Croire l’évangile, c’est croire en Jésus mort pour nos péchés, croire en son triomphe sur la mort par sa résurrection. J’ai accepté qu’il a été mon substitut en prenant à la croix la condamnation que je méritais à cause de mes péchés. Maintenant, Dieu donne gratuitement une place dans son ciel à tous ceux qui croient, car il en a fait ses enfants bien-aimés. Rien de moins !

    Ce dont l’homme a besoin, et ce que Jésus lui propose, ce n’est pas un christianisme d’imitation qui consisterait à calquer sa conduite sur celle d’un de ses disciples, si fidèle soit-il. Le christianisme authentique résulte du changement intérieur que produit chez un homme la rencontre personnelle avec le Christ. Lorsque l’idée fait place à une personne et que l’homme comprend qu’il est vraiment pécheur et loin de Dieu, son coeur s’en retrouve bougé et changé. Alors l’homme comprend la nécessité d’un sauveur et peut comprendre l’amour de Dieu et sa justice dans l’acte incroyable qu’il a accompli en Jésus sur la croix. Chacun peut alors décider de demander pardon pour ses fautes, de se tourner pleinement vers Dieu, et de recevoir Jésus dans son cœur. Cette foi amène à une transformation de jour en jour dans le cœur de celui qui croit. Cette foi là amène celui qui croit à agir par conviction et non par religion. La vie du croyant emprunte alors une nouvelle direction : elle tourne le dos à certains objectifs et à tout ce qui est mal pour suivre d’autres objectifs en accord avec la volonté de Dieu et à tout ce qui est bien. Une véritable relation surnaturelle s’installe avec Dieu et par sa parole dans la Bible, nous apprenons à le connaître et à vivre cette vie divine. Le voile qui était sur le cœur est ôté. Vous pensez peut-être que certains vices ou certaines obsessions vous disqualifie ? Là n’est pas le problème. Dieu vous prend comme vous êtes et vous changera par son Esprit. Ce qui compte, c’est votre foi en Jésus et votre désir de vous tourner vers lui. Grâce à cette foi, Dieu agira au plus profond de vous pour transformer votre cœur en vous donnant la victoire. C’est un miracle qui découle de la bonne nouvelle. Cette foi en Jésus, permet d’expérimenter la vie divine ici bas et pour toujours car de manière certaine, celui qui croit avec son cœur sera vainqueur de cet ennemi temps redoutable : la mort.

    Dieu ne s’imposera jamais, il vous a donné le libre arbitre. Vous pouvez faire le choix de le rejeter et de continuer à vivre dans le péché mais la mort arrivera tôt ou tard et elle vous conduira dans un endroit conforme à votre choix, qui se traduira par une absence totale de Dieu. Cet endroit s’appelle l’enfer. Voilà la vérité. Le Diable et ses démons sont une réalité, les témoignages ne manquent pas à ce sujet et quand à eux, ils ont déjà fait leur choix et vous détesteront toujours pour ce que vous êtes : une créature de Dieu.

    Bien des gens rejettent Dieu, s’imaginant que de par son existence, il stopperait définitivement et immédiatement le mal. Une telle vision est purement humaine et démontre la vision obscurcie par le péché que l’homme a de Dieu. En effet, si Dieu agissait comme une telle pensée le suggère, Dieu ne serait qu’un dictateur cherchant à imposer sa dictature. Dieu ne veut pas de robots c’est pourquoi il nous a créé avec le libre arbitre. Dieu est certes au contrôle et finira par stopper ce mal ambiant mais pas sans avoir permis à toute l’humanité de faire le choix de vivre avec ou sans lui.

    Les choses sont simples : Dieu est lumière et en dehors de lui ce sont les ténèbres.  Le monde prend à la légère et rigole avec la notion d’enfer, quelle inconscience! Certains vont même jusqu’à dire que l’enfer est sur terre. D’autres encore n’ont aucune conscience de ce que signifie l’enfer et s’en moque. Mais l’enfer est bien une réalité et ne pas en parler n’y changera rien au contraire! L’enfer n’est que la conséquence du choix conscient de chacun de ne pas venir à la lumière de Dieu dans le seul but de continuer à vivre dans le péché et sans Dieu. L’enfer existe bien et c’est un endroit ou il n’y a plus aucune présence de Dieu et qui se caractérise par tout ce qui est contraire à sa nature divine. Savez-vous que sur terre, c’est uniquement la présence de Dieu qui vous permet de profiter de tout ce qu’il y a de bon, de positif et d’éprouver joie et bonheur ? C’est ce que l’on appelle être sous la grâce. En enfer, il n’y a plus aucune présence de Dieu. Il n’y a donc que mal, tourment et souffrance dans ce lieu. Les nombreux témoignages de personnes ayant expérimenté l’enfer lors d’une mort clinique avant réanimation, font froid dans le dos.

    « Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé » (Romains 10.9).

    N’attendez plus pour faire le pas de la foi, vous avez tout à y gagner. Cet article n’a pas pour but de vous amener à une quelconque religion et encore moins à une quelconque secte mais à Dieu seul. Faites votre propre expérience avec un Dieu vivant qui vous aime tellement qu’il a payé le prix de votre liberté à votre place ! Vous pouvez faire cette simple prière avec un cœur entier et sincère, à haute voix, pour rentrer dans cette grande famille de Dieu :

    « Dieu, je te demande pardon pour toutes les fautes que j’ai pu commettre dans le passé. Je te demande pardon pour tous les mauvais actes, les mauvaises paroles et les mauvaises pensées que j’ai pu avoir par le passé. Je veux me détourner de tout ce qui est mal et me tourner vers toi. Je vois qu’effectivement je suis pécheur. Je crois que Jésus est ton fils et qu’il est venu sur la terre par amour pour moi afin de prendre mes fautes sur la croix. Je crois qu’il s’est livré lui même pour moi et a été jugé à ma place sur cette croix. Il a payé le prix de mes fautes par amour pour moi. Je crois qu’il a été enseveli et qu’il est ressuscité d’entre les morts le 3ème jour par ta puissance. Dieu, je te remercie de ce que, au nom de Jésus, je reçois maintenant le pardon de mes péchés et ton Saint-Esprit dans mon cœur. Jésus, aujourd’hui, je te reçois dans mon cœur comme Sauveur et Seigneur. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Merci pour ton amour incroyable qui me dépasse et que j’ai peine à comprendre. Fais de moi celui que tu veux que je sois. Je remets entre tes mains tous les domaines de ma vie. Aides moi à mener cette nouvelle vie avec toi et à manifester pleinement ton amour dans mon cœur afin que je puisse à mon tour répandre autour de moi cet amour. Dieu, merci de m’accompagner tout le long de cette vie par ta puissance et ton amour. Amen !! »

    Maintenant, procures toi une Bible et apprend à connaître Dieu en commençant par lire l’évangile de Matthieu par exemple, puis tout le nouveau testament à partir du livre des actes !

    Et crois le : si tu as fais la prière sincèrement, toutes les promesses que Dieu fait dans la Bible t’appartiennent et tu pourras les expérimenter !!

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    Comment vaincre la mort

     

    Comment vaincre la mort ? Dieu nous en montre le chemin

     

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