•  

     

    La communauté des veuves


     

    La communauté des veuves

     

    Note MAV: c’est Annie qui m’a transmis ce témoignage. Je n’en connais pas la source, juste ce lien: https://files.ctctcdn.com/0fcc91ba001/eed36c35-a0b5-40a2-9930-05340f9d9c5f.pdf

    Cette information a été relayée par Shalom Israël (pasteur Gérald FRUHINSHOLZ) qui déclare:

    Nous avons connu cette histoire par Loïs, une soeur de notre assemblée de Jérusalem qui est en contact avec le pasteur R…. Ancien musulman, le pasteur R… vit caché en Syrie. Il a été laissé pour mort, mais le Seigneur l’a rétabli miraculeusement. Et récemment, il a fait une attaque cardiaque, mais le Seigneur l’a encore rétabli – « Mon coeur va bien », a-t-il confié à Loïs. 

    Il y a quelques mois, le Pasteur R… nous a partagé l’histoire d’une Syrienne dont le mari avait été tué sous ses yeux par son fils, parce qu’il refusait de renier sa foi nouvelle en Jésus Christ.

    Ce qui lui est arrivé lorsque son fils a ordonné qu’elle renie le Christ, elle aussi, devant près de 400 témoins, nous l’avons raconté dans un précédent email. L’histoire a été racontée sans cesse au Moyen-Orient ces derniers mois.

    Mofidah, elle, s’en est sortie indemne, tout à fait épargnée par le feu, la fumée et la chute des débris de la mosquée complètement détruite, mais ce ne fut pas le cas pour son fils de 32 ans ni pour tous les témoins.

    Depuis, le Seigneur a choisi de se servir de Mofidah et d’un groupe de 25 autres veuves pour amener les autres au salut et Il a choisi aussi de de guérir beaucoup de malades pour qui elle prie. Ces histoires là se répandent, elles aussi.

    La semaine dernière, dans une ville voisine, les combattants d’ISIS avaient attaqué et blessé sérieusement un groupe d’hommes, leur pulvérisant les jambes avec des balles de gros calibre, les laissant les os brisés, perdant leur sang, et voués à la mort. Il y avait quatre « cheiks » parmi les blessés pris en charge par plusieurs médecins, tous d’accord sur le fait que seule une amputation dans les jours à venir pourrait leur sauver la vie.

    Un voisin de l’un des Cheiks, qui avait entendu parler des prières de Mofidah, suggéra qu’elle soit autorisée à prier pour eux. On envoya un messager pour trouver Mofidah et lui demander de rencontrer les quatre Cheiks dans une mosquée d’une ville des environs. Il fallut deux jours pour la trouver, et pendant ce temps, la gangrène s’était déjà installée : le temps pressait.

    Connaissant le piège dans lequel son mari, Nabil, était tombé, qui lui avait coûté la vie, et sachant ce qui lui était arrivé dans une autre mosquée, elle hésitait à y aller. Cependant, elle et son groupe de 25 veuves, prièrent et discutèrent, et elles lui conseillèrent vivement d’y aller.

    Lorsque Mofidah et son armée de 25 veuves priantes arrivèrent à la ville en question, elles ne furent pas seulement reçues à la mosquée par les quatre Cheiks blessés, mais également par un autre groupe de 12 Cheiks, ainsi que par un groupe de spectateurs. Quand Mofidah regarda les blessés, elle vit qu’ils étaient dans un état critique.

    Les Cheiks, les blessés et les autres, essayèrent de faire un pacte avec Mofidah, lui disant qu’ils croiraient en son Dieu si les hommes étaient guéris. Elle refusa de faire aucune tractation, leur disant qu’elle n’avait pas le pouvoir de guérir quiconque, que Dieu seul pouvait le faire et qu’elle ne savait pas si Dieu les guérirait ou non. Elle ne voulait pas que la guérison des hommes soit la condition de leur foi. Qu’ils choisissent de croire ou non, c’était entre eux et Dieu. Après discussion, ils acceptèrent finalement qu’elle prie pour les blessés sans aucune condition.

    Mofidah déclara alors qu’elle ne ferait rien jusqu’à ce qu’elle ait eu un moment de solitude. Elle passa alors une demi-heure en prière, seule avec Dieu. Revenant vers le groupe, elle dit qu’elle aurait besoin de certaines choses avant de pouvoir prier pour eux. Il lui fallait de la farine, de l’eau, de l’huile et de quoi allumer un feu. Elle demanda aussi 4 bâtonnets.

    L’un des responsables des Cheiks rassembla ce qu’elle avait demandé. Elle leur dit qu’ils ne devaient pas s’attendre à une guérison instantanée, que cela prendrait 3 jours, mais que Dieu guérirait les blessures. Mofidah mélangea dans un saladier la farine, l’eau et l’huile puis elle ajouta un peu de poussière du sol. Ce qu’elle fit ensuite les choqua tous. En fait, il fallait la main de Dieu pour empêcher ces hommes de la tuer là, sur place, dans la mosquée.

    Mofidah étala la mixture sur les huit jambes et demanda aux spectateurs d’aider chaque blessé à mordre les morceaux de bois pour ne pas mordre leur langue. Elle mit alors le feu à la concoction ! La douleur terrible fit hurler les hommes mais elle ne céda pas. Elle entretenait les feux, ajoutant au besoin davantage du mélange, et cela pendant 30 à 45 minutes !

    Les Cheiks qui regardaient étaient offusqués, pensant qu’elle était en train de les tuer. Ils lui demandèrent si elle était folle. Elle leva la main dans leur direction, les regarda et leur demanda:

    « Est-ce que vous voulez qu’ils soient guéris ou non? « .

    Elle leur dit de se taire, et de ne pas s’en mêler ou de sortir de la mosquée.

    Les quatre blessés perdirent connaissance pendant l’opération et ne se revinrent pas à eux, ce qui mit les autres Cheiks en colère, car ils pensaient qu’elle les avait tués. Ils la menaçèrent et lui dirent qu’elle paierait le grand prix pour sa tricherie. Tout ce qu’elle leur répondit est que cela prendrait trois jours et qu’ils devaient lui accorder ces trois jours ou les hommes ne seraient pas guéris.

    Pendant trois jours, les quatre Cheiks blessés restèrent endormis. Ils ne s’éveillèrent pas jusqu’à ce que Mofidah vienne à eux le troisième jour et les appelle par leur nom. Quand elle appela chacun d’eux, il s’éveilla et sauta debout criant de joie : ils étaient TOTALEMENT guéris. Lorsque les spectateurs examinèrent leurs jambes, ils ne purent trouver aucune marque. C’était comme si Dieu avait donné de nouvelles jambes à tous les quatre !

    Les Cheiks tombèrent aux pieds de Mofidah, les embrassant, et lui demandant de leur apprendre à connaître Dieu comme elle. Elle leur rappela qu’elle ne les avait pas guéris, qu’elle n’était que l’outil de Dieu. Mais elle voulait les amener à la prière. Les quatre Cheiks qui avaient été guéris prièrent sur le champ et acceptèrent Jésus comme leur Messie. Les autre douze Cheiks firent la même chose, comme aussi les gens qui avaient été témoins de l’évènement. Alors commença une grande célébration……. pas seulement ici sur la terre, mais aussi dans le Royaume des Cieux !

    Les hommes vont aller très vite voir R… pour recevoir l’enseignement sur leur Sauveur et Rédempteur qu’ils viennent de découvrir. Des hommes comme ces Cheiks enseignent depuis 40 ou 50 ans et les gens leur vouent un très grand respect. Des milliers de personnes vont probablement trouver Jésus comme Messie simplement par ce seul miracle ! Le Livre des Actes s’écrit encore…..On ajoute même les derniers chapitres maintenant.

    Mais le besoin de Bibles est permanent, à mesure que de plus en plus de gens de langue arabe rejoignent le Royaume de Lumière au Moyen-Orient. Nous continuons à prier pour que d’autres rejoignent la House of Blessing (Maison de Bénédiction) en rendant la Parole de Dieu disponible à ceux qui vivent dans les ténèbres, pendant qu’il en est temps encore.

    Quant à moi, chaque fois que je lis les détails de cet évènement incroyable, qui s’est passé il y a moins d’une semaine, j’ai les larmes aux yeux. Comme Dieu aime la race humaine ! Quel chemin peut-Il faire pour atteindre quatre hommes à qui l’on n’a appris à peine plus que leur dieu Allah est un dieu de haine et qu’il ordonne à ses disciples de faire la même chose. Avec de tels hommes, Dieu découvre son amour de la manière la plus extraordinaire. J’ajouterais qu’il semble y avoir une signification intéressante dans les choses que Dieu a demandé d’utiliser à son humble servante Mofidah. Ce sera le sujet d’un courrier très bientôt. Dieu ne fait jamais rien sans raison!

    Voudriez-vous être partie prenante de ce qui se passe au Moyen-Orient aujourd’hui?

    Une haine nouvelle a été lâchée sur la terre ces dernières années et c’est ce que nous voyons au Moyen-Orient et à d’autres endroits de la terre. House of Blessing (HOB) est juste au milieu du débordement de cette haine, dans plusieurs des nations du M-O. Elles ont absolument besoin de vos prières et votre soutien financier est grandement nécessaire pour fournir des Bibles aux milliers de nouveaux croyants, dont la plupart ont tout perdu et vivent dans des camps de réfugiés.

    Que Dieu vous bénisse! Merci d’avoir lu ce message



     

     

     

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

     

     

     

     


     

     Dieu m'a délivré et m'a rendu heureux ! 

     

    Avant j'étais malheureux. Je n'arrivais pas à apprécier la vie pour ce qu'elle m'offrait de bon. J'étais avide de quelque chose mais je ne savais pas de quoi il s'agissait… Mon être à souffert plusieurs longues années d'un grand vide auquel s'ajoutait le doute, un doute qui paralyse, qui opprime et qui conduit à la dépression. Avant de rencontrer Dieu il me manquait une vraie raison d'être, des racines, de la confiance. Le monde et ce qu'il comprend ne me suffisait pas, j'avais un grand manque, c'était comme si j'avais toujours soif, en fait je n'arrivais pas à vivre. Je n'arrivais pas, par exemple, à faire des projets ou simplement à m'imaginer plus tard car mes pensées me rendaient captif, prisonnier de la souffrance et le diable s'en servait pour me mentir sur moi-même.

       Il y a quelque mois alors que je connaissais Dieu et que ma foi en lui était déjà née (je lisais la Bible depuis à peu près 2 ans et j'allais parfois dans une église protestante sans en faire vraiment partie), j'ai enduré une grande épreuve. J'ai traversé une période de profonde dépression qui me privait de tout ce que j'appréciais, c'était comme si tout s'effondrait à l'intérieur de moi, je ne me sentais plus capable de rien, imaginant le restant de ma vie dans un hôpital psychiatrique à cause d'une humeur changeante de façon chronique et que je n'arrivais pas à contrôler. Ce n'était pas ma première dépression mais celle-là était de loin la plus sévère. J'ai vraiment cru ne jamais pouvoir m'en relever. Mon seul espoir était Jésus, j'ai persévéré dans la prière même si j'avais de grandes difficultés à le faire car mon épuisement physique et mental faisait que souvent je m'endormais avant de pouvoir achever ma prière et j'en étais très frustré au réveil. Ajouté à la prière et à la lecture de la Bible qui m'ont permis de ne pas abandonner, ce qui m'a particulièrement aidé c'est Joyce Meyer et son ministère qui m'ont révélé que la pensée est un véritable champ de bataille et qu'elle était ma prison.

       Aujourd'hui je remercie Dieu de tout mon cœur car Il m'a secouru. Il a pris soin de mon âme et de mon cœur, il m'a pansé et soigné mes maux. Aujourd'hui par sa grâce je suis guéri ! Il m'a relevé en quelques mois, alors que j'aurais sûrement eu besoin de beaucoup plus de temps pour me reconstruire seul. Dieu m'a permis de prendre vraiment conscience, grâce à cette affliction, que le mal existait et que je ne devais plus le craindre mais croire seulement que Dieu œuvre pour le bien de ma vie et qu'il peut tout ! Dieu est vivant et fidèle et toutes les épreuves qu'il permet que nous vivions travaillent ensemble à notre bien. 

       Au final, je le sais maintenant, cette dure traversée du désert m'a beaucoup appris sur la vie, a fait grandir ma foi et m'a conduit à faire le choix de m'en remettre entièrement à Dieu pour ma vie en le laissant me guider pour tout. A présent je ne suis plus esclave du mal et Dieu est la lumière de mon existence, il m'a délivré et m'a rendu heureux ! Je prie pour tous ceux qui n'ont pas encore la chance immense de connaître Dieu et qui sont dans la souffrance comme j'ai pu l'être (ou dans toute autre forme de souffrance) et j'espère qu'il touchera vos cœurs en vous faisant connaître l'infinie grandeur de son amour et ainsi votre vie deviendra merveilleusement harmonieuse, ça ne fait aucun doute.

     

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Métamorphose !

     

     

    Métamorphose !

     

    Métamorphose !

     

    Il fut un temps où Dieu ne signifiait rien pour moi. Plus je grandissais, plus je me disais que s'il existait vraiment et s'il était vraiment gentil et que toutes ces histoires dans la Bible étaient vraies et bien il n' y aurait pas autant d'injustice. Je le détestais encore plus lorsque j'ai perdu mon grand père qui m'était vraiment très cher et lorsque mes parents se sont séparés. Après leur séparation, on avait beaucoup de difficulté financière car notre père ne versait pas d'argent à ma mère et durant ce temps je prenais aussi la place de ma mère à la maison, le ménage et tout et j'avais toujours l'impression qu'elle n'était jamais satisfaite car elle râlait tout le temps. Vers l'âge de 15 ans où j'ai commencé à renouer des liens avec mon père, les disputes avec ma mère, mes frères et ma sœur commençaient à devenir fréquentes et je me sentais vraiment très seule, j'ai décidé à ce moment là que j'allais faire ma vie alors je commençais à boire et à fumer. Après les fêtes, ce sentiment de solitude ne me quittait pas.

       Un jour après une violente dispute avec ma mère, j'ai lu quelques versets dans la Bible et je voulais vraiment changer mais les jours suivants je continuais ce que je faisais d'habitude : insolence, alcool, fêtes. Je voulais trouver refuge dans l'amour d'un garçon mais en fait, pour moi, avoir un petit copain c'était surtout faire comme les autres mais je ne savais pas vraiment ce qu'était l'amour. Après mon bac j'ai rencontré un jeune homme que je trouvais très "mignons, sympa et tout", il me rendait toujours le sourire surtout dans les moments difficiles. Malheureusement il m'a beaucoup déçu et j'avais une douleur tout au fond de moi que je ne voulais pas admettre et parfois je me demandais pourquoi je souffrais autant. En me regardant dans le miroir et je me trouvais laide à cause de mes boutons, alors je pensais souvent à me suicider.

       Comme beaucoup de personne, j'ai fréquenté l'église dès mon plus jeune âge avec mon grand père qui m'y emmenait chaque dimanche. Après la séparation de mes parents, ma mère a commencé à fréquenter l'église et elle me força à venir avec elle, mais j'ai décidé de ne plus y aller car je pensais que cela ne changeait rien à ma vie. Après une rupture difficile pour moi, j'ai commencé à écouter l'évangile sur une chaîne de radio évangélique et je suis allée à leur réunion. Je m'y sentais à l'aise, en paix et pour la première j'ai prier dans une église.

       J'ai compris que la mort de mon grand père, la séparation de mes parents et cette rupture difficile m'avaient changée en une personne meilleure car avant j'avais un "fort caractère" ! Ces épreuves m'ont aussi fait comprendre qu'il ne fallait pas aimer les hommes plus que Dieu. Aujourd'hui j'ai mes diplômes et je suis bénie. On a maintenant plusieurs maisons en location et mon caractère a changé. Je ne suis pas un ange mais en tout cas c'est bien mieux qu'avant.

     

    FB.eldashainah.rambelomanana | 

     

     Métamorphose !

     

     

     

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

     

    Ma confiance en Dieu a grandi.

    Ma confiance en Dieu a grandi.

     

    Ma confiance en Dieu a grandi.

    Aloiassi 

    Je suis née dans une famille catholique heureuse, qui allait à l'église le dimanche, des parents aimants, des frères et sœurs avec qui je m'entendais bien, une bonne situation familiale. Je ne manquais de rien, on voyageait, j'avais des jouets, bref le bonheur. Mais en grandissant il a commencé à me manquer quelque chose, je ressentais un vide que je n'arrivais pas à combler. L'église catholique ne répondait plus à mes attentes mais je continuais à m'accrocher pourtant.

       Un jour, lors d'une retraite en France, en priant on a prononcé des paroles de Jésus : "je vous laisse la paix, je vous donne ma paix." J'ai commencé à pleurer comprenant enfin que c'était cette paix qui me manquait. Pourtant il m'a fallu encore de nombreuses années et surtout un retour en Afrique pour que je rencontre vraiment le Seigneur et que je donne ma vie à Jésus. Cela a commencé par la lecture de la Bible que j'ai pris comme un livre d'histoire, mais Dieu en a profité pour me toucher et me faire rencontrer Jésus.


       En 2012 -2013 j'ai eu des problèmes professionnels suite aux avances de mon patron que j'ai refusées. Le Seigneur s'est servi de cela pour me fortifier et faire grandir ma confiance. J'ai pris un rendez-vous à l'extérieur avec mon patron mais il souhaitait qu'on y aille ensemble. Craignant ses intentions, j'ai prié mon Dieu pour qu'il me préserve. Après avoir lu la Pensée du jour qui disait : "Avance et ne crains pas", j'ai reçu un e-mail de la secrétaire comme quoi cet homme reportait la réunion et souhaitait qu'elle ait lieu dans nos locaux. Je ne me retrouverais donc pas seule dans un ascenseur avec lui. Je bénis le Seigneur car j'ai vu encore vu sa main agir. Je sais qu'il me garde et que je n'ai rien à craindre, juste à lui faire confiance. Amen

    http://www.topchretien.com/

    Partager via Gmail

    votre commentaire
  •  

    Je vivais dans la crainte

     

    Je vivais dans la crainte, j'ai trouvé l'assurance !

    NZEYITU

     

    Née dans une famille chrétienne, j'ai réellement accepté le Seigneur à 15 ans en 2006 lors d'une veillée de prière organisée par le ministère de la jeunesse d'une assemblée chrétienne. Ma vie a depuis changé du tout au tout… Jumelle avec mon frère, nos personnalités sont, depuis l'enfance, différentes. Lui a toujours été extraverti et moi introvertie, timide…

       Durant mon enfance, je fus une enfant fragile émotionnellement. Bien qu'entourée de mes proches et aimée de mes parents, j'étais très naïve, si bien qu'en grandissant il m'était difficile d'affirmer ma personnalité et mes choix dans mes décisions. Je manquais d'assurance dans mes relations avec autrui car j'étais paralysée par la peur. Or, la peur est l'ennemi de la foi. Cette peur occupait une grande partie de mon cœur et laissait peu de place à la foi. Cette foi, qui normalement suscite le courage et la force par le Saint-Esprit, était étouffée par la peur. J'avais peur de ce que les gens pensaient de moi, de ce qu'ils pourraient dire de moi, si bien que je m'exprimais très peu en public (notamment en classes ou dans mes rapports avec les autres).
      
       Vers Décembre 2006, j'ai assisté à une veillée de prière où, dans une atmosphère d'adoration, le Saint-Esprit était présent et a embrasé mon cœur. Plusieurs jeunes avaient témoigné ce soir-là et j'étais émerveillée de voir ce que le Seigneur était capable de faire dans la vie des jeunes. J'étais joyeuse de réaliser qu'il est possible, au 21ème siècle, d'être jeune et de vivre une vie épanouie et consacrée en Christ. Pendant que j'écoutais les témoignages, mes larmes coulaient et j'ai alors fait une prière de repentance en demandant au Seigneur de me remplir de sa force, de son courage « car ce n'est pas un esprit de timidité que DIEU nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse » - 2 Timothée 1 : 7.

       De retour chez moi, j'ai décidé de prendre une nouvelle orientation dans ma marche avec Christ. Et Dieu, dans sa miséricorde et sa fidélité, a agit à travers les divers enseignements dispensés à l'église. J'ai peu à peu développé mon intimité avec le Saint-Esprit et ma vie a réellement changé. En effet, le Seigneur me fait la grâce d'exercer un emploi où le sens relationnel est primordial. J'ai développé une aisance relationnelle dans mes rapports avec les autres et j'ai également découvert des capacités à manager en encadrant une équipe de 20 personnes. Avant, il me paraissait impossible d'y penser ! La peur est une arme utilisée par Satan pour nous empêcher de découvrir le potentiel que Dieu a mis en chacun de nous, mais je reste convaincue qu'à force de prière authentique, Dieu répond à la soif de ses enfants, car assurément « Rien n'est impossible à Dieu » - Luc 1 : 37.
       Que toute la Gloire lui revienne à lui seul !

     

     http://www.topchretien.com
    Partager via Gmail

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique