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    Tu aimeras le Seigneur

     

    Les hommes aussi ont le droit d'aimer le Seigneur Dieu de tout leur cœur, sans honte ni a priori. Aimer le Seigneur en premier, c'est refuser de s'aimer égoïstement.
    Aimer ne dévalorise pas l'homme qui ne sait pas toujours aimer Dieu en premier, de peur d'être découvert et qualifié de faible.

    Aimer Dieu permet de triompher de ses craintes ;
    c'est élever la seigneurie de Jésus au plus haut degré possible et accéder ainsi au rang des adorateurs. Ceux qui s'élèvent eux-mêmes seront déclassés. Babel n'a pas résisté à la confusion, la ruine et la honte.

    Aimer le Seigneur c'est enterrer l'ego, même s'il ressuscite facilement. Aimer laisse les sentiments du cœur de Dieu habiter en nous, sachant qu'il ne s'imposera jamais car il est trop noble pour le faire.
    Aimer c'est plus qu'observer par obligation, mais c'est répondre à l'appel de Jésus d'aimer Dieu et le prochain comme nous-mêmes, tout un programme pour une vie.

    C'est à Simon Pierre qu'il sera demandé par trois fois “ M'aimes-tu ? “ et Pierre lui répondra ce que nous savons.
    Aimer le Seigneur pour le suivre ensuite, c'est une clé pour une vie réussie.
    Aimer c'est s'incliner, le relèvement appartient à Dieu.
    Aimer c'est possible car nous avons été aimés en premier dans le ciel et sur la terre.
    Aimer son prochain c'est voir en l'autre le même Seigneur qui nous habite.

    Dieu est amour et il le restera.

    Beaucoup de choses sont difficiles à accepter et à comprendre, elles font partie de l'apprentissage du disciple. Elles favorisent notre construction et abolissent nos révoltes, pour notre bien, à nous qui aimons Dieu.

    Aimer Dieu dans un monde et un environnement hostiles à notre spiritualité, renverse les tables des vendeurs du temple pour recevoir l'envoyé de Dieu sans aucune tractation mercantile ni aucun mérite.

    La mesure de l'amour pour Dieu, c'est d'aimer sans mesure.

         GloriaV 

     

    Actes 2:38
    Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.

    Mais ceux qui se confient en l’Éternel renouvellent leur force. Ils prennent leur vol comme les aigles. Ils courent et ne se lassent point. Ils marchent et ne se fatiguent point".
    Esaïe 40 : 31 

    GloriaV
     

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    Aimez vos ennemis

    Aimez vos ennemis

     

    Aimez vos ennemis

    Mais MOI, JE vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, Matthieu 5:44.

    Sur la montagne, LE CHRIST enseigna à la foule la ligne de conduite à suivre après la nouvelle naissance. LE FILS DE DIEU nous apprend à faire du bien, pas seulement à nos amis, mais également aux ennemis, persécuteurs, et autres adversaires. Aimez vos ennemis signifie : Supportez leur faiblesse, leur ignorance, leur incapacité à aimer, et montrez-leur que vous êtes Enfant de DIEU qui aime les bons et les méchants.

    Car Notre PÈRE CÉLESTE fait lever Son Soleil sur les méchants et sur les bons, et IL fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes, révèle Matthieu 5:45. Ainsi, L'ÉTERNEL ne fait pas de distinction entre ceux qui L'aiment et ceux qui ne L'aiment pas, voulant que tous arrivent à la repentance. C'est pourquoi, nous devons aimer et prier pour ceux qui nous sont hostiles.

    En guérissant l'oreille de Malchus, l'un de ceux qui vinrent pour L'arrêter, dans Luc 22:51, LE SEIGNEUR JÉSUS nous a montré le Bon Exemple à imiter. En appliquant LUI-MÊME ce qu'IL avait auparavant prescrit sur l'amour des ennemis au peuple qui vint auprès de LUI.

    PÈRE, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font, est un exemple supplémentaire du Pouvoir d'aimer que nous a légué LE FILS DU DIEU VIVANT, en Luc 23:34. C'est pour cela que le diacre Étienne avant de s'endormir s'écria d'une voix forte : SEIGNEUR, ne leur impute pas ce péché, relate Actes 7:60. Car Etienne suivit l'Exemple de Son MAÎTRE.

    Dans l'Ancien Testament, le prophète Élisée ordonna au roi d'Israël de donner du pain et de l'eau à ses prisonniers Syriens. Le roi d'Israël leur fit servir un grand repas, et ils mangèrent et burent ; puis il les renvoya. Et les troupes des Syriens ne revinrent plus sur le territoire d'Israël, raconte 2 Rois 6:23. En effet, ce sage conseil d'amour permit de briser la spirale de la haine et de ramener la paix durable dans le pays.

    Injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous supportons ; calomniés, nous parlons avec bonté... telle fut la réaction de l'Apôtre Paul et de ses compagnons face aux persécuteurs de leur foi, selon 1 Corinthiens 4:12-13. Aujourd'hui encore, le Peuple de DIEU qui est confronté à plusieurs ennemis, doit suivre ces exemples d'amour pour faire la différence et triompher du monde.

    À MOI la Vengeance, à MOI la Rétribution, dit L'ÉTERNEL. Mais si ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; car en agissant ainsi, ce sont des charbons ardents que tu amasseras sur sa tête, déclare Romains 12:20. Aimez vos ennemis, et vous accomplirez ainsi la loi du CHRIST.

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    Quand on dit du mal de toi

    Quand on dit du mal de toi

     

    Quand on dit du mal de toi…

    - Donald SORO

    Si nous essayons d’avoir la maitrise sur plusieurs choses dans notre vie, nous n’avons par contre aucune capacité de contrôler ce que les gens disent à notre sujet. Que nous soyons bons ou biens, n’empêchera pas qu’on parle de nous négativement. Personne ne peut éviter les médisances à son encontre, mais, nous avons la possibilité de ne point les laisser nous atteindre.

    Luc 6:26 Malheur, lorsque tous les hommes diront du bien de vous, car c’est ainsi qu’agissaient leurs pères à l’égard des faux prophètes !


    Si certaines personnes n’accordent aucun intérêt aux médisances, d’autres se retrouvent  dévastées quand elles entendent ce qu’on dit d’elles.  C’est certes pas facile d’être informés du mal qu’on dit de nous, mais, nous devons comprendre que le but de l’ennemi, c’est d’atteindre notre cœur.

    Proverbes 4:23 Garde ton cœur plus que toute autre chose, Car de lui viennent les sources de la vie.


    Un cœur attristé, blessé, en colère, en haine, affligé, ne peut nous permettre de rester connectés à Christ. Aux travers des médisances contre nous, Satan veut nous déstabiliser, nous embrouiller, nous distraire. Les médisances que notre Seigneur Jésus Christ a supportées, sont de loin les plus dures. Lui qui était Dieu, a été traité de tous les noms et accusé de tout. Il a été crucifié, parce qu’on l’accusait injustement; aujourd'hui, Il a le nom au dessus de tout nom.

    Comment réagir face au mal qu’on dit à notre sujet ?

    1 – Il faut comprendre que nous ne devons surtout pas chercher à essayer de corriger notre image… laissons Dieu s’en charger. Concentrons-nous sur Christ, sur ce qu’on a à faire pour son œuvre. Si ce qu’on dit à notre sujet est justifié, alors, repentons-nous et accordons les cordes de nos vies en fonction de la parole de Dieu ; et non pas pour que les gens arrêtent de médire sur nous.

    2 - Il faut prier pour son cœur, car des fois, les médisances peuvent avoir pour origine nos proches ; ce qui est très douloureux quand on l’apprend. Dans nos églises, les chrétiens se retrouvent être très durs, accusateurs et médisants envers d’autres. Il faut juste préserver nos cœurs, aimer les gens, pardonner, supporter. Ne laissons surtout pas Satan nous déconnecter de Christ. Quand Christ nous parle d’aimer notre prochain, cette recommandation n’a pas de conditions… elle s’étend même à nos ennemis. Colossiens 3:13 Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi.

    3 - Nous ne devons pas modifier notre comportement envers ceux qui nous médisent. Du genre, arrêter de les saluer, les regarder mal, les éviter, ne plus les aider, ne plus les visiter, se prendre la tête avec eux dans une dispute ou pire, les médire à notre tour. Dans ces cas, nous nous ferons justice à nous-mêmes et Dieu ne pourra nous justifier… Sachons que la justice des hommes n’emmènera nulle part ; mais, celle de Dieu, nous conduira à l’élévation, à la gloire et au succès… Romain 12:21 Ne te laisse pas vaincre par le mal, mais surmonte le mal par le bien.

    Laisse les gens parler… concentre toi sur Christ… ne laisse jamais la mal régner sur ton cœur ; aime et pardonne.

     

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     Quel sera ton choix

     

    Malgré la folie de ce monde, de la colère de Dieu sur ce monde et,

    il y a une  bonne    nouvelle pour celui  qui cherche la seul vérité. Il

    est encore temps de se repentir et se convertir au Christ.


     Actes 3 : 19 "Repentez-vous donc et convertissez-vous pour, que vos

    péchés soient effacés , afin que des temps de rafraîchissement viennent

    de la part du Seigneur", 

    2 Chroniques 30 : 8 "Ne raidissez  donc pas votre cou,

      comme vos pères; donnez la main à l’Éternel, venez à son sanctuaire

    qu'il a sanctifié pour  toujours, et servez

     l’Éternel, votre Dieu, pour que sa colère ardente se détourne de 

    vous." 

    Romains 10:17 Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on

    entend vient de la    parole de Christ. 

     

      Quel sera ton choix

     

    (Écoutez la Bible ici)

     

     Quel sera ton choix

     

     Quel sera ton choix ?

     

     

     

    La Fin du Monde et Le Retour du Christ 

    Matthieu 24

    c'est Le Retour du Christ

     

     

    La Fin du Monde et Le Retour du Christ

     

       Les Signes de la des fin de temps

     

     

     

     
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    La VRAIE repentance et ses fruits.

     La repentance est l’une des doctrines fondamentales de la Bible, mais

    c’est aussi l’une des plus mal comprises. Les définitions qu’on en

    donne généralement sont bien étranges et bien erronées.

    Personne n’est prêt à recevoir et à croire l’Évangile à moins d’être prêt

    aussi à se repentir de ses péchés et à s’en détourner. Avant de

    rencontrer Jésus, Jean-Baptiste n’avait qu’un seul discours :

    « Repentez-vous ; car le royaume des cieux est proche. » (Matt. 3, 2.)

    Mais s’il avait continué à répéter cette parole, sans jamais montrer au

    peuple « l’Agneau de Dieu », son oeuvre eût été très imparfaite.

    Quand Jésus parut, il s’empara de la même déclaration :

    « Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche. » (Matt. 4, 17)

    Et quand Il envoya ses disciples pour prêcher, ce fut avec le même

    message : « Ils prêchèrent qu’on se repentît. » (Marc 6, 12.) Après

    qu’Il eut été glorifié, quand le Saint-Esprit fut envoyé du ciel, nous

    retrouvons Pierre, au jour de la Pentecôte, faisant entendre le même cri

    : « repentez-vous ! » Et ce fut cette prédication – la repentance et la foi

    en l’Évangile – qui produisit de si merveilleux résultats

    (Actes 2, 38, 47)

    Avant que je dise ce qu’est la repentance, j’expliquerai brièvement

    ce qu’elle n’est pas.

    La repentance n’est pas la crainte. Bien des gens confondent ces deux

    choses. Ils s’imaginent qu’ils doivent être alarmés, terrifiés ; ils

    attendent qu’une sorte de frayeur s’empare d’eux. Mais il y a des

    multitudes de gens alarmés qui ne se repentent pas. Que de matelots,

    dans la tempête, crient miséricorde à Dieu, pour recommencer, une

    fois la peur passée, à jurer et à se mal conduire! Ce n’était pas la

    repentance,mais la peur qui les faisait crier.

    La repentance n’est pas non plus une impression. Bien des gens

    s’attendent à éprouver une émotion extraordinaire ; ils voudraient se

    donner à Dieu, mais ils n’osent le faire avant de l’avoir ressentie. À

    Baltimore, je prêchais chaque dimanche à 900 criminels dans la maison

    de force. Il n’y avait pas un seul homme, dans cet auditoire, qui ne se

    sentît misérable ; pendant la première semaine de leur séjour dans la

    prison, ils avaient tous passé la moitié du temps à pleurer. Pourtant, si

    on leur eût donné la liberté, la plupart seraient retournés à leurs

    mauvaises actions. Au fond, ils se sentaient malheureux parce qu’ils

    avaient été pris, voilà tout.

    La repentance n’est pas davantage le jeûne et la macération. Un homme

    peut jeûner pendant des mois et des années, et loin d’abandonner son

    péché, faire de ses pénitences une raison pour persévérer dans le mal.

    La repentance n’est pas le remords. Judas eut des remords, il en eut de

    si terribles qu’ils le poussèrent au suicide : cependant il ne s’était pas

    repenti. Je crois que, s’il fût revenu vers son Maître, S’il se fût jeté à

    ses pieds et lui eût demandé grâce, il eût été pardonné. Au lieu de cela,

    il alla vers les prêtres, puis il se pendit. Toutes les pénitences du monde

    n’impliquent pas la vraie repentance. Souvenez-vous bien que vous ne

    pouvez payer les péchés de votre âme avec les douleurs de votre chair.

    Chassez cette dangereuse et coupable illusion !

    La repentance n’est pas la conviction du péché. Cela peut paraître

    étrange, mais ce n’est que trop vrai. J’ai vu des hommes si

    profondément convaincus de leur péché qu’ils n’en pouvaient dormir,

    ni manger, ni boire. Ils restaient des mois entiers dans cet état, mais ne

    se convertissaient pas.

    Prier n’est pas se repentir. Cela aussi peut paraître étrange, et pourtant

    bien des gens, désireux d’être sauvés, se confient vainement dans leurs

    prières et dans la lecture de la Bible, s’imaginant que cela tient lieu de

    repentance. On peut crier à Dieu et ne s’être point converti.

    Renoncer à un péché particulier, ce n’est pas non plus un indice

    suffisant de repentance. Bien des gens commettent cette erreur. Un

    ivrogne cessera de boire, et s’imaginera être sauvé, mais il se trompe.

    Renoncer à un seul péché, c’est couper une seule branche de l’arbre,

    quand l’arbre tout entier doit être arraché. Supposez que je sois à bord

    d’un navire et que j’y découvre soudain trois ou quatre voies d’eau. Si

    j’en bouche une seule, cela n’empêchera pas le navire de sombrer.

     

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    Qu’est-ce donc, me demanderez-vous, que la repentance ?

     Je vous en donnerai la définition en langage militaire : c’est ce que les

    soldats appellent un « demi-tour à droite. » C’est changer absolument

    de direction ; c’est marcher dans le sens opposé à celui que l’on a

    suivi.

    « Retournez-vous, retournez-vous, car pourquoi mourriez-vous ? »

    Peu importe qu’un homme soit heureux ou malheureux dans le péché,

    qu’il en souffre on n’en souffre pas : s’il ne s’en détourne, Dieu ne

    peut lui faire grâce.

    La repentance, c’est un changement d’esprit, ou de détermination.

    Prenons pour exemple cette parabole, racontée par Christ :

    « Un homme avait deux fils : il vint au premier et lui dit : Mon fils, va

    travailler aujourd’hui dans ma vigne. Mais il répondit : « Je n’y veux

    point aller. » (Matt. 21, 28. 29.) Après qu’il eut dit : non, il réfléchit et

    changea d’avis. Peut-être se dit-il : « Je n’ai pas parlé

    respectueusement à mon père. Il m’a demandé d’aller travailler et j’ai

    refusé ; j’ai eu tort »

    Mais supposez qu’il eût ainsi parlé et s’en fût tenu là ; il ne se serait pas

    repenti. Non seulement il demeura convaincu qu’il avait eu tort, mais il

    s’en alla aussitôt aux champs pour labourer. Voilà comment Christ

    Lui-même définit la repentance. Si quelqu’un dit : « Par la grâce de

    Dieu, j’abandonne mon péché et je ferai désormais sa volonté »

    celui-là se repent ; c’est la véritable conversion.

    Peut-on se repentir sur-le-champ ? Certainement Il ne faut pas six mois

    pour changer d’avis. Il y a un moment, dans la vie de tout homme, où

    il peut s’arrêter et dire : « Par la grâce de Dieu, je n’irai pas plus loin

    sur le chemin de la mort éternelle. Je me repens de mes péchés et je

    m’en détourne. » S’il laisse passer ce moment-là, il peut être trop tard.

    N’attendez pas de sentir vivement vos péchés ; si vous êtes convaincus

    d’être dans la mauvaise voie, cela suffit ; détournez-vous aussitôt, c’est

    la vraie repentance, et c’est le salut.

    Tous les exemples de conversions qui se trouvent dans la Bible sont

    des conversions instantanées. La repentance et la foi viennent le plus

    souvent soudainement. Au moment où un homme se décide, Dieu lui

    donne la force ; Il ne lui demande pas de faire l’impossible. À

    l’homme de vouloir, à Dieu de pouvoir. Il ne commanderait pas à «

    tous les hommes de se repentir » s’ils en étaient incapables. Ceux qui

    ne se repentent pas et ne croient pas à l’Évangile ne pourront blâmer

    qu’eux-mêmes.

    La vraie repentance doit porter des fruits. Si nous avons fait tort à

    quelqu’un, nous ne pouvons demander à Dieu de nous pardonner

    avant d’avoir réparé le mal.

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